mardi 17 avril 2012

Conférence de presse du jour : on avance

- A la fin de la semaine dernière, nous avons reçu des offres finales des parties intéressées. Vient maintenant non seulement le temps de l'évaluation de qui sera le favori, mais c'est également un point de départ pour les discussions que nous avons avec eux.
Déclaration de Hans Bergqvist à la conférence de presse de ce mardi concernant Saab en faillite.
- Nous avons une poignée de parties intéressées. Tous sont sur la bonne voie, et n'ont pas abandonné. Tous ont exprimé un intérêt à reprendre jusqu'à une certaine forme la production automobile.
Tous les soumissionnaires sont intéressés par la marque Saab et une «solution globale».
Dans une solution complète sont compris également le département Saab Parts Company, qui n'est pas en faillite, mais est promis à l'Office de la dette.
- Il est de notre devoir de vendre l'actif, car il représente la succession, lorsque Saab Automobile est propriétaire des actions. Ensuite, les actions, bien que promis à l'Office d'État et donc à la dette nationale a une influence sur les ventes.
Selon Bergqvist les plans soumis différent peu les uns des autres.
- Nous avons maintenant à négocier avec eux autour d'offres comparables, a déclaré Bergqvist.
A ce stade les administrateurs enregistrent le prix d'achat, mais n'évaluent pas si toutes les parties prenantes sont en mesure de fonctionner correctement.
- Nous ne sommes pas dans cette optique. Nous aurons accompli notre tâche si nous parvenons à vendre cette entreprise avec un bon résultat. C'est de notre devoir. Nous ne pouvons pas assumer la responsabilité de quelqu'un par rapport au marché ou à ses engagements, a déclaré Hans Bergqvist.
Il ne veut pas dire qu'une des parties prenantes pouvant bénéficier d'engagements futurs puisse gagner l'appel d'offres .
- Non, parce que cela ne rentre pas dans nos considérations.
Source : GP.se 




- At the end of last week, we received final bids from interested parties. Now comes the time to not only assess who will be the favorite, but it is also a starting point for the discussions we have with them.
Statement by Hans Bergqvist at the press conference this Tuesday on Saab bankrupt.
- We have a handful of interested parties. All are on track, and did not give up. All expressed an interest in taking up some form of automobile production.
All bidders are interested in the Saab brand and a "global solution".
In a complete solution also included the Department Saab Parts Company, which is not bankrupt, but is promised to the Debt Office.
- It is our duty to sell the asset because it represents the estate, when Saab Automobile owns the shares. Then, actions, although promised to the State Office and thus the national debt has an impact on sales.
According to the plans submitted Bergqvist little different from each other.
- We now have to negotiate with them about comparable offers, Bergqvist said.
At this stage the directors record the purchase price, but do not evaluate if all stakeholders are able to function correctly.
- We are not in this light. We will have done our job if we can sell this business with a good result. It is our duty. We can not take responsibility for someone with the market or to its commitments, said Hans Bergqvist.
It does not mean that stakeholders who can benefit from future commitments can win the tender.
- No, because it does not fit into our considerations.

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