L'administrateur chargé de superviser la réorganisation du constructeur automobile Saab pour éviter sa faillite a demandé vendredi la levée de cette mesure de protection, estimant qu'elle ne fonctionnerait pas en raison du retrait probable de deux investisseurs chinois. «Les parties chinoises ne veulent plus collaborer avec la maison mère de Saab Automobile, Swedish Automobile (ex-Spyker). Elles veulent plutôt investir directement dans Saab Automobile et ainsi reprendre Saab», relève-t-il. Le tribunal doit donner sa réponse le 27 octobre. S'il accepte la requête, des milliers de demandes de mises en faillite déposées par les salariés de Saab, pourront être activées.
Source: Les Echos
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