lundi 13 avril 2015

NEVS : la sortie de crise pour demain ?

"Une des plus difficiles expérience que je n'ai jamais connue" résume l'administrateur Lars Eric Gustafsson, après des années d'expériences. La raison en est, entre autres choses, la solution compliquée, avec plusieurs entreprises impliquées (Mahindra et Dongfeng selon des sources), comme l'a souhaité NEVS.
Le tribunal assure que sa délibération sera rendue "assez rapidement" tandis que Mikael Ostlund nous a confirmé qu'elle sera connue au plus tard Mercredi et espérée favorable.
Mais tout les indicateurs sont au vert avec un plan accepté à la majorité concernant la dette, et un premier versement prévu sous 60 jours à partir de demain ou Mercredi.
Et puis bien évidemment, nous pensons déjà à la suite.
Est ce qu'à l'aube de 2017 le développement de la plateforme PhoeniX permettra l'émergence de nouveaux modèles ?
Les travaux d'ingenierie n'ont jamais cessé même si ils ont serieusement été freinés par le manque de liquidités.
Reste aussi en suspend la question du droit d'utilisation de la marque. Puisqu'apparemment et contrairement à ce que j'ai écrit ici il y a quelques semaines, le problème n'est pas réglé et qu'un droit d'utilisation contre paiement serait dans la balance.
Par ailleurs, la mise à disposition de certaines parties du site de Trollhättan au profit d'autres constructeurs européens serait toujours incluse dans le plan NEVS.

Source TTELA.se




4 commentaires :

  1. Cela sent quand même un peu l'usine à gaz mais bon....

    Quant au nom, j'avais lu sur SU, que les conditions demandées par SAAB GROUP, propriétaire du nom SAAB, étaient tout simplement hallucinantes ! Pour résumé et faire simple, SAAB GROUP demande ni plus ni moins que le prétendant puisse investir avec des garanties à la clé, en gros l'équivalent (?) de ce qu'a investi GEELY en ayant racheté VOLVO....
    Pour rappel, GEELY a investi 11 milliards de dollars ! On ne doit pas être bien loin de ce montant suivant les directives de SAAB GROUP.

    SAAB GROUPE exige de la part du futur propriétaire plus que de simples engagements sur le papier.
    Pour une marque presque morte, cela semble faire beaucoup.
    Mais nous ne sommes plus à un rebondissement de plus !

    Kris

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Nous ne sommes plus à un rebondissement près dans cette affaire ! ;-)

      Supprimer
    2. A force de saloper le nom, c'est normal que SAAB Group mette la barre assez haute. Grosso-modo, comme évoqué, c'est comme au poker, il faut voir. Soit il s'agit de qq'un de sérieux qui décide réellement de relancer le nom et la marque, soit c'est uniquement pour récupérer de la technologie aux normes Européennes, voire au mieux de devenir un super sous traitant de Rang 1 et basta. Dans le 1° cas, tous le monde sait qu'il faut effectivement d'énormes moyens et pas faire cela a la petite semaine pour relancer toute une gamme, soit ds le 2° cas c'est pr récupérer la plate forme Phoenix (pr rappel le pb des Chinois et des Indiens actuellement c'est, en autres, de na pas passer les test de sécurité...) et commercialiser de l'ingénierie autour de tt cela.
      Ce n'est pas tt a fait les mêmes scénarios... et avec les Indiens mieux vaut avoir des écrits, siphonner, décapiter,etc.. , est une de leur spécialité, pr exemple Arcelor mittal... Et SAAB n'est pas (plus) en comparaison, dans le même cas de figure que Land rover, Jaguar ou Volvo, puisqu'il n'y a plus rien, hormis un nom.
      Dc wait & see...

      Supprimer
  2. Réponse aujourd'hui ... ou demain

    RépondreSupprimer